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    Expression écrite

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    Expression écrite
    Message de killianb75 posté le 17-10-2016 à 20:08:05 (S | E | F)
    bonjour, cela fait longtemps que j'avais posté cette expression écrite et c'est seulement maintenant que je m'y remet, désolé alienor64 d'avoir perdu du temps à me corriger pour rien. cette expression est maintenant surement corrigés grâce à alienor, reste-il des fautes? S'il vous plais, pouvez- vous me le corriger ? merci


    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un bois immense et lugubre. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau prit dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m’endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades formaient une mélodie sinistre.

    Au cœur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes(sujet : 'ce bruit')??? penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus grandes qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais à en perdre halène. Mes pieds me fîmes( sujet : ' mes pieds')??? atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx venue percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciais guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua car dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulèvement malgré la force qu'ils avaient... nous reprîmes notre route dans cette lancé pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.


    -------------------
    Modifié par bridg le 06-11-2016 11:10
    Merci de respecter les règles d'orthographe dans vos demandes. Voir la correction proposée par alienor64 ci-dessous.



    Réponse : Expression écrite de alienor64, postée le 17-10-2016 à 23:47:13 (S | E)
    Bonsoir killianb75
    bonjour, cela fait longtemps que j'avais posté cette expression écrite et c'est seulement maintenant que je m'y remet(1ere personne), désolé alienor64 d'avoir perdu du temps à me corriger pour rien.( Pas pour rien puisque vous avez corrigé certaines erreurs ; mais il en reste encore ... reportez-vous à votre dernière intervention qui date du mois d'avril et aux indications de correction) cette(majuscule après un point) expression est maintenant surement(accent circonflexe) corrigés(accord) grâce à alienor, reste-il des fautes? S'il vous plais(3e personne+ accent circonflexe), pouvez- vous me le corriger ? merci
    --- Seules les erreurs grammaticales vous sont signalées. Le fond de votre récit, sa trame, son intrigue sont laissés à votre seule appréciation.

    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un bois immense et lugubre(devant le substantif). Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau prit(erreur déjà signalé et non corrigée : autre verbe au participe passé) dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m’endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades formaient(autre verbe plus adapté au mot 'mélodie') une mélodie sinistre.

    Au cœur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes(sujet : 'ce bruit')???(pourquoi ces ??? Vous conjuguez ce verbe au pluriel alors que son sujet est au singulier. Vous semblez confondre pronom personnel sujet et pronom personnel complément) penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus grandes qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais à en perdre halène(orthographe). Mes pieds me fîmes( sujet : ' mes pieds')???(Encore ces ??? : Regardez donc quel est le sujet de ce verbe et vous ne le conjuguerez pas à la 1ère personne du pluriel) atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx venue( conjuguez 'venir' au passé simple : déjà signalé) percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciais(passé simple) guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua car(autre conjonction) dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulèvement( conjuguez le verbe correspondant : déjà signalé) malgré la force qu'ils avaient... nous reprîmes notre route dans cette lancé(orthographe : déjà signalé) pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.

    Bonne correction !



    Réponse : Expression écrite de killianb75, postée le 23-10-2016 à 17:25:27 (S | E)
    bonjour alienor64

    Décidément, je n'arrive toujours pas à trouver un verbe plus adapté au mot 'mélodie', pour le reste j’espère que tout est bon. reste-il des fautes s'il vous plaît ? merci

    (( bonjour, cela fait longtemps que j'avais posté cette expression écrite et c'est seulement maintenant que je m'y remets, désolé alienor64 d'avoir perdu du temps à me corriger pour rien. Cette expression est maintenant sûrement corrigée grâce à alienor, reste-il des fautes? S'il vous plaît, pouvez- vous me le corriger ? merci ))

    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un lugubre bois immense. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau extrait dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m’endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades formaient(autre verbe plus adapté au mot 'mélodie') ( je ne sais pas ) une mélodie sinistre.

    Au cœur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîme penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus grandes qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais à en perdre haleine. Mes pieds me fîment atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx est venue percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciai guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua et dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulevèrent malgré la force qu'ils avaient... nous reprîmes notre route dans cette lancée pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.



    Réponse : Expression écrite de alienor64, postée le 24-10-2016 à 00:06:13 (S | E)
    Bonspoir killianb5
    Pour vous aider à conjuguer le verbe 'faire' : Lien internet



    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un lugubre bois immense( à côté de l'autre adjectif et précédé d'une conjonction de coordination). Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau extrait(accord, mais autre participe : on n'extrait pas de l'eau d'un ruisseau ! ) dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m'endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades formaient(autre verbe plus adapté au mot 'mélodie') ( je ne sais pas pour ce verbe, pensez à une musique, une œuvre ) une mélodie sinistre.

    Au c?ur(orthographe) de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîme(erreur : sujet : 'Ce bruit') penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus grandes(autre adjectif pour qualifier une dimension) qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions(autre temps) tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais à en perdre haleine. Mes pieds me fîment(erreur, passé simple incorrect ; à conjuguer à l'imparfait, 3e personne du pluriel) atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra(imparfait) par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx est venue(passé simple) percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciai guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua et dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulevèrent malgré(pourquoi ' malgré '? ) la force qu'ils avaient... nous reprîmes notre route dans cette lancée( ce n'est pas très clair ! à mieux exprimer) pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt(virgule) poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police(virgule) me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.

    Bonne soirée !





    Réponse : Expression écrite de killianb75, postée le 04-11-2016 à 22:24:45 (S | E)
    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un immense bois lugubre. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau puisé dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m'endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades interprétaient une mélodie sinistre.

    Au cœur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus longues qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions eut tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais à en perdre haleine. Mes pieds me faisaient atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétrait par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx alla percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciai guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua et dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulevèrent difficilement car il avait peu de force... Nous reprîmes notre route en direction d'une sortie pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt, poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police, me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.



    Réponse : Expression écrite de alienor64, postée le 05-11-2016 à 00:10:00 (S | E)
    Bonsoir killianb75
    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un immense bois lugubre(relisez attentivement l'indication précédente pour la place des adjectifs). Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau puisé(accord : déjà signalé) dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m'endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades interprétaient une mélodie sinistre.

    Au c?ur(orthographe : déjà signalé) de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes(déjà signalé : voir correction précédente) penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus longues qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien( vous voyez une ombre et des griffes, mais en vous retournant, vous ne voyez rien ! Ce n'est pas très clair !), juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions eut( erreur : participe passé, mais autre temps : passé simple) tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courais, courais(passé simple pour ces deux verbes) à en perdre haleine. Mes pieds me faisaient atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétrait par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx alla percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciai guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua et dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulevèrent difficilement car il avait(pourquoi ce singulier ?) peu de force... Nous reprîmes notre route en direction d'une sortie pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.Cette dernière phrase manque de cohérence : si le bois est derrière vous, comment peut-il se replier sur vous ???

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt, poursuivi(vous n'étiez pas tout seul ; alors : pluriel) par un monstre et aucun moyen d'appeler (autre formulation : mettre une préposition qui indique la privation, l'absence, suivie d'un verbe à l'infinitif exprimant une possibilité + 'appeler') la police, me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.

    Bonne soirée !






    Réponse : Expression écrite de killianb75, postée le 06-11-2016 à 19:15:48 (S | E)
    bonjour, alieonor64
    pouvez-vous me corriger cette expression ? Merci

    Merci alienor64 pour votre correction. J'ai réécrit mon texte, acceptez-vous de me dire s'il contient encore des fautes, s'il vous plaît.
    Merci pour votre aide et pour e temps que vous me consacrez.


    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un lugubre bois et immense. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous cueillîmes enfin quelques fraises des bois et un peu d'eau puisée dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.

    Il était impossible pour moi de m'endormir, le sifflement du vent dans les arbres et le ronflement de mes camarades interprétaient une mélodie sinistre.

    Au cœur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant. Sans hésiter, Matteo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fit penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre.

    Après quelques petites secondes, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus longues qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang, cela nous fîmes très peur; tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.

    Je courus, courus à en perdre haleine. Mes pieds me faisaient atrocement mal, mes orteils étaient engourdis à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétrait par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...

    Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx alla percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciai guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !

    Soudain, mon pied se bloqua et dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goûtait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils me soulevèrent difficilement car ils avaient(pourquoi ce singulier ?)( désolé ) peu de force... Nous reprîmes notre route en direction d'une sortie pour éviter la mort en tant que gibier. Devant nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.

    Nous entendîmes les pas lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt, poursuivis par un monstre et aucun moyen de se faire sauver par la police, me fit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel nous nous étions désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.
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    Modifié par bridg le 07-11-2016 02:06
    Si vous persistez à ne pas respecter les règles de grammaire dans vos introductions, vous n'allez plus pouvoir poster sur le forum.




    Réponse : Expression écrite de alienor64, postée le 06-11-2016 à 23:05:53 (S | E)
    Bonsoir killianb75
    Voici ce que vous devez corriger :
    Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un lugubre bois et immense(toujours mal placé ; déjà signalé : à mettre devant le premier adjectif ; entre les deux, vous placerez la conjonction de coordination)) .
    Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang, cela nous fîmes( erreur ; accordez ce verbe avec son sujet) très peur;(autre ponctuation : virgule) tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.
    Dernière(orthographe) nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel une meute de loups en train de chasser des petits lapins.
    Cette sensation d'être en pleine forêt, poursuivis par un monstre et aucun moyen de se faire sauver(à mieux exprimer : voir les indications données dans la correction précédente) par la police, me fit atrocement souffrir.
    Bonne soirée !




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