Vision guerre et hiérarchie Céline
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de voltaire23 posté le 26-10-2018 à 18:13:24 (S | E | F)
Bonjour, je me permet d'écrire sur ce forum afin que vous m'aidiez sur la question:
Quel est la vision de la guerre et de la hiérarchie militaire de Bardamu?
Pour cela j'ai un extrait de Voyage au bout de la nuit de Céline
« Allez-vous-en tous ! Allez rejoindre vos régiments ! Et vivement ! qu’il gueulait. - Où qu’il est le régiment, mon commandant ? qu’on demandait nous… - Il est à Barbagny. - Où que c’est Barbagny ? - C’est par là ! » Par là, où il montrait, il n’y avait rien que la nuit, comme partout d’ailleurs, une nuit énorme qui bouffait la route à deux pas de nous et même qu’il n’en sortait du noir qu’un petit bout de route grand comme la langue. Allez donc le chercher son Barbagny dans la fin d’un monde ! Il aurait fallu qu’on sacrifiât pour le retrouver son Barbagny au moins un escadron tout entier !(1) Et encore un escadron de braves ! Et moi qui n’étais point brave et qui ne voyais pas du tout pourquoi je l’aurais été brave, j’avais évidemment encore moins envie que personne de retrouver son Barbagny, dont il nous parlait d’ailleurs lui-même absolument au hasard. C’était comme si on avait essayé en m’engueulant très fort de me donner l’envie d’aller me suicider. (1) Ces choses-là on les a ou on ne les a pas. De toute cette obscurité si épaisse qu’il vous semblait qu’on ne reverrait plus son bras dès qu’on l’étendait un peu plus loin que l’épaule, (1) je ne savais qu’une chose, mais cela alors tout à fait certainement, c’est qu’elle contenait des volontés homicides énormes et sans nombre (1) . Cette gueule d’État-major n’avait de cesse dès le soir revenu de nous expédier au trépas et ça le prenait souvent dès le coucher du soleil (2) . On luttait un peu avec lui à coups d’inertie, on s’obstinait à ne pas le comprendre, on s’accrochait au cantonnement pépère tant bien que mal, tant qu’on pouvait, mais enfin quand on ne voyait plus les arbres, à la fin, il fallait consentir tout de même à s’en aller mourir un peu ; le dîner du général était prêt (2)
Les 1 sont la vision de guerre pour Bardamu
Les 2 sont la vision de la hiérarchie militaire
Par la suite j'ai une écriture d'invention du point de vue d'un officier sur cette extrait:
J'aurais quelques questions, est-ce que lorsque Bardamu dit (qu'il gueulait: est-ce que je peux le remplacer par j'ordonnais ou je dois conservé le "gueulait")
Par la suite je dois montré la vision de la guerre pour cette officier ainsi que la hiérarchie militaire j'ai un peu du mal avec ceci puisque
Bardamu dans l'extrait original dit:" Par là, où il montrait, il n’y avait rien que la nuit, comme partout d’ailleurs, une nuit énorme qui bouffait la route à deux pas de nous et même qu’il n’en sortait du noir qu’un petit bout de route grand comme la langue."
Est-ce que ce passage montre "les ordres" incompréhensibles ? et Comment puis-je modifier ce passage par la vision de la hiérarchie de la guerre pour un officier?
Merci,
Au revoir
(PS: Je ne demande pas à ce que l'on me fait le travail que je dois faire)
-------------------
Modifié par voltaire23 le 26-10-2018 18:15
-------------------
Modifié par voltaire23 le 26-10-2018 18:16
-------------------
Modifié par voltaire23 le 26-10-2018 18:23
Réponse : Vision guerre et hiérarchie Céline de alienor64, postée le 26-10-2018 à 23:36:00 (S | E)
Bonsoir voltaire23


'... je me permet

Quel

Les 1 sont la vision de guerre pour Bardamu
Les 2 sont la vision de la hiérarchie militaire
Par la suite(virgule) j'ai une écriture d'invention du point de vue d'un officier sur cette

J'aurais quelques questions, est-ce que lorsque Bardamu dit (qu'il gueulait: est-ce que je peux le remplacer par j'ordonnais ou je dois



Par la suite(Ensuite) (virgule)je dois montré




Bardamu dans l'extrait original dit:(espace devant et après deux points)" Par là, où il montrait, il n’y avait rien que la nuit, comme partout d’ailleurs, une nuit énorme qui bouffait la route à deux pas de nous et même qu’il n’en sortait du noir qu’un petit bout de route grand comme la langue."
Est-ce que ce passage montre "les ordres" incompréhensibles ? et Comment

Merci,
Au revoir
(PS: Je ne demande pas à ce que l'on me fait

Alors, proposez-nous votre travail et nous vous aiderons à le corriger.
Bonnecorrection
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français