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    Texte à corriger

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    Texte à corriger
    Message de datchay91 posté le 10-04-2019 à 05:28:23 (S | E | F)
    Bonsoir. J'aimerais que vous m'aidiez à corriger le texte ci-dessous.

    Il y avait une femme qui était en grossesse. À la fin de la journée, elle alla à la recherche de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit toutes ses deux jarres d'eau mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui n'avait l'air de venir de nulle part, dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta de l'aider, mais à une condition, selon qu'elle faisait un garçon ou une fille, il ou elle serait son ami intime ou sa femme. Elle fut d'avis malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée depuis ce jour-là. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer secrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne, même pas non plus à son mari, pendant des années. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades, laquelle était déjà autour de ses dix sept ans et sûrement la plus belle fille du village conviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'était pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui indiquait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piller le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la casse, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait déjà grandi et que lui raconter des histoires tirées des cheveux pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le fesait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne se sentit jamais seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa beauté sublime. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble... Merci d'avance. À bientôt.


    Réponse : Texte à corriger de alienor64, postée le 10-04-2019 à 10:29:54 (S | E)
    Bonjour datchay91

    (Ce serait bien de commencer ce récit par un indication de lieu)Il y avait une femme qui était en grossesse(autre expression). À la fin de la journée, elle alla à la recherche(expression impropre dans ce contexte : on part à la recherche de quelqu'un ou de quelque chose quand on ne connaît pas l'endroit précis où il se trouve. Ici, ce n'est pas le cas et un seul verbe suffit) de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit toutes(enlever) ses deux jarres d'eau(inutile) (virgule) mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui n'avait l'air(mieux : 'sembler'; vous enlèverez la préposition qui suit)) de venir de nulle part,(pas de virgule, mais conjonction de coordination) dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta de l'aider(inutile), mais à une condition,(pas de virgule, mais deux points explicatifs) selon qu'elle faisait(pourquoi un temps du passé ?) un garçon ou une fille, il ou elle serait son ami intime ou sa femme. Elle fut d'avis(ce mot n'a pas de sens, ici) malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée depuis ce jour-là(inutile). Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer secrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne, même pas non plus(enlever) à son mari, pendant des années. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades,(autre ponctuation) laquelle(remplacez ce pronom par le nom qu'il représente) était déjà autour de ses dix sept(trait d'union) ans et sûrement la plus belle fille du village conviée('conviée' ? Cela signifie que tout le monde l'invitait ; est-ce bien ce que vous voulez dire ?) par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'était pourquoi(locution conjonctive au présent) , avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui indiquait(autre verbe) de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piller(orthographe) le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la casse('la casse' ou la 'case' ?), qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait déjà(enlever) grandi et que lui raconter des histoires tirées des cheveux(expression incorrecte) pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le fesait(orthographe) bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne se sentit(autre temps) jamais seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa beauté sublime(mieux : devant le nom). Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble...

    Bonne correction

    Je m'aperçois un peu tard que vous n'avez pas terminé la correction du texte précédent, 'Adultes et adolescents'. Vous avez donc du pain sur la planche !
    Courage !




    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 11-04-2019 à 04:26:32 (S | E)
    Bonsoir. Merci de votre correction.

    Jadis, dans un village nommé Yanqa, il y avait une femme. À la fin de la journée, elle alla emmener de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit ses deux jarres mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui ne semblait venir de nulle part et dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta, mais à une condition : selon qu'elle fait un garçon ou une fille, il ou elle sera son ami intime ou sa femme. Elle accepta malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer secrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne, même pas à son mari, pendant des années. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades ; l'adolescente était déjà autour de ses dix sept-ans et sûrement la plus belle fille du village enviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'est pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui laissait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piler le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la case, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait grandi et que lui raconter des histoires sans têtes ni queue pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le faisait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne s'était jamais sentie seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa sublime beauté. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble... Merci bien. À bientôt.



    Réponse : Texte à corriger de alienor64, postée le 11-04-2019 à 10:31:16 (S | E)

    Bonjour datchay91

    Jadis, dans un village nommé Yanqa, il y avait une femme(à compléter ; cette femme n'était certainement pas la seule du village, mais elle avait un signe distinctif !). À la fin de la journée, elle alla emmener(connaissez-vous le sens de ce verbe ? Autre verbe) de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit ses deux jarres mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui ne semblait venir de nulle part et dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta, mais à une condition : selon qu'elle fait(pourquoi un présent alors que l'événement n'a pas eu lieu ?) un garçon ou une fille, il ou elle sera son ami intime ou sa femme. Elle accepta malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer secrètement(autre adverbe ou expression pour éviter une répétition trop rapprochée avec 'secret'). Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne, même pas à son mari, pendant des années(mieux : après 'à personne'). De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades ; l'adolescente était déjà autour de ses dix sept-ans(trait d'union mal placé) et sûrement la plus belle fille du village enviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'est pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui laissait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piler le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la case, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait grandi et que lui raconter des histoires sans têtes ni queue(inverser les noms + singulier) pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le faisait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne s'était jamais sentie seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa sublime beauté. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble...

    Bonne journée



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 13-04-2019 à 04:18:11 (S | E)
    Bonsoir. Merci de votre correction.
    Jadis, dans un village nommé Yanqa, il y avait une femme qui allait bientôt accoucher. À la fin de la journée, elle alla amener de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit ses deux jarres mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui ne semblait venir de nulle part et dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta, mais à une condition : selon qu'elle fait ( Car le présent peut aussi avoir la valeur du futur ) un garçon ou une fille, il ou elle sera son ami intime ou sa femme. Elle accepta malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer discrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne pendant des années, même pas à son mari. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades ; l'adolescente était déjà autour de ses dix-sept ans et sûrement la plus belle fille du village enviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'est pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui laissait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piler le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la case, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait grandi et que lui raconter des histoires sans queue ni têtes pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le faisait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne s'était jamais sentie seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa sublime beauté. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble... Merci bien. À bientôt. Bonne fin de semaine.



    Réponse : Texte à corriger de alienor64, postée le 13-04-2019 à 14:43:39 (S | E)

    Bonjour datchay91

    Jadis, dans un village nommé Yanqa, il y avait une femme qui allait bientôt accoucher. À la fin de la journée, elle alla amener(pourquoi 'amener' ??? Ni 'amener', ni 'emmener', ni 'rechercher'... relisez donc l'indication concernant 'rechercher' dans la première correction ; le verbe à trouver a la même racine) de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit ses deux jarres mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui ne semblait venir de nulle part et dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta, mais à une condition : selon qu'elle fait ( Car le présent peut aussi avoir la valeur du futur ( Certes, certes ! Mais mieux autre temps : voir note plus bas. Mais si vous y tenez, au présent... à vous de voir ce qui est judicieux ou non) ) un garçon ou une fille, il ou elle sera son ami intime ou sa femme. Elle accepta malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer discrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne pendant des années, même pas à son mari. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades ; l'adolescente était déjà autour de ses dix-sept ans et sûrement la plus belle fille du village enviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'est pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui laissait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piler le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la case, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait grandi et que lui raconter des histoires sans queue ni têtes(voir indication dans la correction précédente) pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le faisait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne s'était jamais sentie seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa sublime beauté. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble.

    N.B. : Quand un verbe au présent indique un fait à venir, ce fait doit être considéré comme inéluctable et présenté, en quelque sorte, comme déjà réalisé. Cela s'applique notamment quand le fait futur est donné comme conséquence inévitable d'un autre fait. 'Dans trois ans, je suis directeur'/ 'Deux mots de plus, vous êtes morte !' (M.Grevisse)

    Bonne journée



    Réponse : Texte à corriger de datchay91, postée le 14-04-2019 à 04:13:14 (S | E)
    Bonsoir. Merci de votre correction.
    Jadis, dans un village nommé Yanqa, il y avait une femme qui allait bientôt accoucher. À la fin de la journée, elle alla chercher de l'eau. Arrivée au puits, elle remplit ses deux jarres mais ne put les soulever tellement elles étaient lourdes. Elle répéta l'action plusieurs fois en vain. Il n'y avait personne pour l'aider et le soleil allait bientôt se coucher. Elle commença à avoir la chair de poule quand, subitement, lui apparut un homme qui ne semblait venir de nulle part et dont elle sollicita l'aide. Ce dernier accepta, mais à une condition : selon qu'elle fera un garçon ou une fille, il ou elle sera son ami intime ou sa femme. Elle accepta malgré elle. Deux jours plus tard, elle accoucha d'une très belle enfant qu'elle nomma Zeyya. La promesse qu'elle avait faite à l'homme ne l'avait pas un seul instant quittée. Chaque fois qu'elle voyait son enfant, qui grandissait harmonieusement, elle s'en souvenait et se mettait à pleurer discrètement. Elle garda ce secret pour elle seule et ne le raconta à personne pendant des années, même pas à son mari. De là venait qu'elle n'avait jamais permis à Zeyya de sortir de la maison pour aller jouer avec ses camarades ; l'adolescente était déjà autour de ses dix-sept ans et sûrement la plus belle fille du village enviée par tout le monde. Elle avait peur qu'on la lui enlevât. C'est pourquoi, avant de partir au champ ou n'importe où, elle lui laissait de nombreuses tâches, telles que balayer la maison, piler le mil, etc. que Zeyya devait accomplir et lui disait de veiller à la case, qu'elle laissait ouverte et où se trouvaient leurs céréales, jusqu'à son retour, car elle savait que sa fille avait grandi et que lui raconter des histoires sans queues ni tête pour lui faire peur et ainsi l'empêcher de sortir avec ses amies était inutile. Zeyya aimait sa mère à tel point que tout ce que celle-ci lui demandait, elle le faisait bien volontiers. Quoiqu'elle restât toujours chez elle, l'adolescente ne s'était jamais sentie seule, car ses amies étaient tout le temps à ses côtés et la traitaient de la manière dont on traitait les princesses, vu sa sublime beauté. Chaque jour, elles venaient trouver Zeyya à la maison et passaient la journée ensemble... Merci bien. À bientôt. Bonne fin de semaine.



    Réponse : Texte à corriger de alienor64, postée le 14-04-2019 à 10:24:40 (S | E)
    Bonjour datchay91

    '... lui raconter des histoires sans queues(pourquoi ce pluriel ? Singulier : 'queue') ni tête... '

    Hormis cette erreur à corriger, votre texte est à présent grammaticalement correct ; il est donc inutile de nous le présenter à nouveau.

    Une remarque : dans le texte original, vous aviez employé cette expression : 'des histoires tirées des cheveux' ; je vous l'avais signalée incorrecte et vous en avez choisi une autre. Or, il suffisait de remplacer un mot pour qu'elle soit correcte :
    - 'des histoires tirées par les cheveux'.

    Bonne continuation




    Réponse : Texte à corriger de lokal, postée le 15-04-2019 à 17:03:21 (S | E)
    j'adore cette correction.




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